Je ne sais pas ce que je veux faire

Je ne sais pas ce que je veux faire en expatriation.

Je ne sais pas si j’ai envie de retrouver un job équivalent à ce que je faisais avant

A l’inverse, je ne sais pas si je ne devrais pas faire une pause

Ou si c’est trop risqué de se retrouver avec un trou dans mon CV

Je ne sais pas si j’en profite pour me former

Ou carrément me reconvertir…

En fait, je me pose pas mal de questions et n’ai pour elles qu’une seule réponse : je ne sais pas !

Stop

Il y a autre chose que « je ne sais pas »

Il y a une part en vous qui sait.

Une part discrète, une part sereine, qui voit beaucoup plus loin, beaucoup plus grand.

Adressez-vous à elle et posez-lui des questions.

Des questions qui vous inspirent, rien qu’en les lisant.

Peut-être « Quelles activités me font perdre la notion du temps ? » « Qu’est-ce qui me faisait vibrer dans mon précédent job ? » « Quels talents les autres m’attribuent ? » « Quelle cause me tient particulièrement à cœur ? »

Laissez à votre part qui sait le temps de trouver des réponses.

Sans l’interrompre par un « Je ne sais pas » définitif.

Les « Je ne sais pas », « Je suis perdu » « Je n’arrive pas à me décider » vous empêchent d’accéder à votre part qui sait.

Vous fermez la porte, un peu comme avec un enfant qui pose trop de questions et à qui vous dites « Je ne sais pas » pour dire « laisse-moi tranquille » 

Alors interrogez-vous puis allez faire un tour. Faites du sport, occupez-vous d’être heureux pour la journée, oubliez la question.

Et là, sans prétention, votre part qui sait vous soufflera des idées, des pistes nouvelles, des solutions créatives. Peut-être que vous tomberez sur un article ou vous entendrez une émission de radio. Vous croirez au hasard alors que tout ça existait déjà. C’est juste que vous avez décidé d’y prêter attention. Et c’est tant mieux parce que c’est le meilleur moyen d’avancer.

Partez du principe qu’il y a en vous une part qui sait.

Et laissez-la vous guider.

PS: Dépasser les blocages et les « Je ne sais pas », se poser les bonnes questions qui font avancer, c’est le travail que l’on fait ensemble dans le programme « Nouvel élan »