L’autre jour, je vous parlais d’une histoire d’éducation qui m’avait beaucoup inspirée. Celle de Stephen Covey et sa femme réalisant que pour aider leur enfant, ils devaient se défaire de toutes les attentes qu’ils avaient envers lui, pour apprendre à l’aimer pour ce qu’il était. Et puis j’ai réalisé que c’était super d’aimer nos enfants pour ce qu’ils sont, mais que ce serait aussi pas mal de le faire pour nous-même. S’autoriser à être soi.
Au lieu de se sur-adapter.
Se forcer à rester dans un boulot qu’on n’aime pas.
Réseauter avec des gens avec qui on n’est pas à l’aise.
Suivre une formation parce qu’elle ferait bien sur son CV.
S’abonner à des magazines spécialisés qu’on va se culpabiliser de ne pas lire.
Se trouver nul parce qu’on n’a aucune ambition….
Peut-être que tout cela est fastidieux parce que ce n’est justement pas qui on est.
C’est comme si on essayait de se brancher sur du 110V alors qu’on fonctionne avec du 220V.
On peut mettre tous les adaptateurs qu’on veut, on n’aura jamais assez de jus.
Le secteur sur lequel on est branché n’est tout simplement pas le bon.
S’autoriser à être qui on est, cela signifie s’autoriser à se brancher à ce qui nous donne de l’énergie.
Suivre ses envies, même si ça ne fait pas sérieux. Même si on n’y connait rien, même si c’est juste une idée en l’air et qu’on pense que ça ne deviendra jamais un métier.
Prendre du temps pour soi. Même si on croit qu’on a mieux à faire.
S’entourer de personnes qu’on admire. Et à leur contact, nourrir la part de soi qui a ces mêmes qualités cherchant à émerger.
En cette période de Noël, je vous propose de vous faire ce cadeau.
Une toute petite autorisation pour commencer.
Ou une grande, c’est vous qui dosez.
Ouvrez la porte et découvrez qui vous êtes, vous n’avez pas fini d’être émerveillé.
PS: Pour commencer à ouvrir la porte, faites vous le cadeau d’une séance d’exploration. C’est gratuit !
Juliette Potin a vécu plusieurs années à l'étranger, en Italie, Turquie et plus récemment aux Etats-Unis où elle se retrouve à la maison après 15 ans de postes à responsabilité dans l'industrie. L'expérience de ne plus pouvoir se définir par son statut social est déstabilisante, celle d'avoir du temps devant soi : vertigineuse! Petit à petit, en se reconnectant à elle-même et à ses aspirations, elle s'autorise à se ré-inventer. Aujourd'hui, elle accompagne les expatriés dans cette quête d'eux-mêmes, formidable opportunité d'un nouveau départ.
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